• undefined Résumé du chapitre 12: Bastibal

    Pendant le voyage le capitaine Bastibalagom raconte son histoire à Tomek :

    Jeune, il était un garnement qui a trahi la confiance de son père et d'un marchand de tissus à qui il a volé sa caisse .Ensuite il s'est enfui mais il avait honte et il a dérobé une barque de pêche . Perdu sur l'océan il a été recueilli par les Parfumeurs.

    Le lendemain de leur conversation, l'équipage perd le contrôle de Vaillante qui se dirige vers un arc en ciel...


    Alexandre , Aurore, Ella, Virginie, Xavier

    [...] C'est le lendemain de ce jour, vers neuf heures du matin, qu'un jeune mousse vint taper trois petits coups à la porte de la cabine de Tomek.
    - Tout le monde sur le pont, ordre du capitaine !

    Tomek enfila ses chaussures et sortit aussitôt. L'équipage entier était déjà rassemblé, on avait alerté Tomek en dernier , sans doute parcequ'il n'était qu'un passager. Les matelots se tenaient debout, aussi immobiles que des statues de pierre. Aucun d'eux ne parlait. Droit devant le bateau, un arc-en-ciel somptueux décrivait dans l'azur une arche parfaite et irisée.

    Tomek s'avança comme un somnambule, incapable de dire un seul mot. Bastibalagom, qui était à la barre, se tourna alors vers ses hommes et prit la parole:

    - Messieurs, notre bateau ne répond plus à aucune commande. Toute manoeuvre est inutile et nous nous dirigeons droit vers l'arc-en-ciel. Vaillante a bien lutté, mais est désormais aspiré par une force irrésistible. Je ne sais pas ce qu'il y a de l'autre côté. Je sais seulement que personne n'en est jamais revenu . [...]

    extrait publié avec l'autorisation de jean claude mourlevat
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    Résumé du chapitre 11: La neige:

    Tomek ne peut pas partir rejoindre Hannah parcequ'il y a beaucoup de neige et que l'hiver dure quatre mois .Il doit rester au village des parfumeurs. Au printemps, il traversera l'océan sur un bateau avec l'équipage qui va vendre les parfums. Le voyage durera un mois et il sera très dangereux , beaucoup de bateaux ont disparu après être passés sous un arc en ciel magnifique ...

    Emilie, Franck, Lucine, Stéfanny

    [...] Quelques jours plus tard, ce fut le redoux. La neige fondit aussi vite qu'elle était tombée et bientôt la prairie se recouvrit de fleurs en boutons. On commença à faire des allers et retours à l'océan pour préparer Vaillante. Tel était le nom du bateau qui attendait au fond d'une petite crique. On y embarqua surtout des provisions de bouche et des vêtements, mais aussi des jeux de société car la traversée pouvait durer plus d'un mois. Les caisses de parfum furent soigneusement transportées dans la cale. Le jour du départ toute la population marcha jusqu'à l'océan pour accompagner l'équipage. Bastibalagom et ses quatorze matelots s'embarquèrent après avoir embrassé les leurs. Quand ils furent tous sur le pont, Eztergom, juché sur une pierre, tira de sa poche un papier sur lequel il avait semble-t-il écrit un long discours. Il ajusta ses lunettes et voulut commencer. Mais l'émotion fut la plus forte et il ne parvint pas à parler. Si bien qu'au bout d'un moment il se contenta de crier: «  Bon voyage mes amis! » et il replia son papier. Tout le monde reprit « Bon voyage! » en agitant des mouchoirs blancs. Pépigom remit à Tomek un petit flacon de parfum.

    - Je l'ai préparé pour toi. Mais, s'il te plaît, ne l'ouvre pas avant d'être parti. [...]


    extrait publié avec l'autorisation de jean claude mourlevat
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    Résumé du chapitre 10: Pépigom.

    Eztergom fait visiter la parfumerie à Tomek ... dans le laboratoire secret, il fait la connaissance de Pépigom une jeune fille de quatorze ans qui lui fait découvrir des parfums très rares : un mariage sur la colline, des gouttes de pluie sur l'étang ...

    Puis c'est la fête du Réveil où il est avec Atchigom dans un carrosse avec un crocodile sur le toit ... Tout le monde chante et danse jusqu'à minuit ...


    Alexandre, Aurore, Ella, Virginie, Xavier

    [...] Malgré ses quatorze ans Pépigom arrivait à peine à l'épaule de Tomek. Elle sentait bon la verveine fraîche, et comme tous ceux du village,elle rayonnait de rondeur et de gentillesse. Tomek respira profondément le flacon qu'elle lui tendait, mais cette fois cela ne lui disait rien, vraiment rien. Il eut même l'impression que ce flacon là ne sentait rien du tout. Au lieu de se concentrer, il se laissa distraire et se mit à rêvasser. Il se revit au bord d'un étang. C'était autrefois, du temps de ses parents. Ils avaient mangé là, mais la pluie les avait chassés. Pourquoi repensait-il à cela maintenant?
              - Alors? interrogea Pépigom souriante.
             - Je ne sais pas, avoua Tomek en essayant de s'arracher à sa
                rêverie. Je ne sens ...rien ...
            - Vraiment? Et vous pensiez peut-être à tout autre chose au                      lieu de réfléchir?
               - Oui, c'est exactement cela! reconnut Tomek surpris. Je vous prie 
               de  m'excuser.
            - Et pouvez-vous me dire à quoi vous pensiez justement? Est ce que
            ce n'était pas à un étang? Et à des gouttes de pluie ?[...]

    extrait publié avec l'autorisation de jean claude mourlevat
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    Résumé du chapitre 9: Hannah

    Hannah a laissé pour Tomek une lettre dans laquelle elle raconte son histoire: son papa était fou de joie dès sa naissance ... Hannah était sa princesse et rien n'était trop beau pour elle ... Chaque année , il l'amenait au marché aux oiseaux et il lui achetait l'oiseau qu'elle voulait sans regarder le prix ... Malheureusement le dernier vendeur a menti , il demandait un prix exorbitant de la petite perruche choisie par Hannah en disant que c'était une princesse ensorcelée depuis plus de mille ans ...


    Emilie, Franck, Lucine, Stéfanny .

    [...] - Mon père était déjà âgé quand je suis venue au monde et ma naissance l'a rendu fou de bonheur. Il a eu encore quatre fils après moi, mais il s'en est à peine aperçu, je le crains. J'étais la prunelle de ses yeux, sa princesse, sa vie. Rien n'était trop beau pour moi. Il me fallait les étoffes les plus précieuses, les bijoux les plus rares. Ma mère lui en faisait le reproche, mais il ne l'écoutait pas. Nous habitions une ville du Nord dont le nom ne vous dira rien. A moins que vous ne vous intéressiez aux oiseaux, car c'est là que se tient une semaine par an au printemps le plus grand de tous les marchés aux oiseaux. On y trouve des espèces du monde entier et les gens y viennent de très loin. Mon père m'y conduisait chaque année en me tenant dans ses bras de peur de me perdre.Et chaque année, il me posait la même question:

    « Quel oiseau veux-tu, Hannah ? Lequel te ferait plaisir? » [...]

    extrait publié avec l'autorisation de jean claude mourlevat
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    Résumé du chapitre 8: Les mots qui réveillent...

    Quand Tomek se réveille il est dans une chambre et un petit garçon lui lit une histoire ... dès que le garçon voit que Tomek est réveillé ,il s'en va en courant .

    Eztergom, le chef du village vient voir Tomek avec tous les habitants. Il lui explique qu'ils l'ont trouvé endormi dans la prairie et lui dit qu'il a dormi trois mois et dix jours ... pendant ce temps les villageois lui lisaient des histoires pour trouver les mots qui réveillent ...

    Hannah, la jeune fille a lu aussi pendant une semaine pour réveiller Tomek puis elle est partie ...

    Alexandre – Aurore – Ella – Virginie – Xavier

    [...] - Voyez-vous, reprit Eztergom, nous nous relayons au chevet des dormeurs et nous lisons sans cesse jusqu'à ce que les Mots qui Réveillent soient prononcés. C'est tout. Nous avons une très grande bibliothèque. Alors nous prenons les livres les uns après les autres et nous lisons à voix haute. Tous autant que nous sommes: les hommes, les femmes, les enfants, tout le monde s'y met. Pas question de perdre une minute. Cela peut durer longtemps, mais on finit par trouver...
            - Longtemps? murmura Tomek , soudain pris de vertige. Combien de
    temps ai-je dormi, moi, par exemple?
                  -  Vous avez dormi trois mois et dix jours...
                  - Trois mois et... répéta Tomek, incrédule. Mais... je n'ai rien mangé pendant tout ce temps?
                - Non, sourit Eztergom, mais comme vous ne dépensiez aucune énergie vous n'en aviez pas besoin... Vous sentez-vous affamé?
                - Oui, un peu tout de même, répondit Tomek et il se servit une crêpe au sirop d'érable. [...]

    extrait publié avec l'autorisation de jean claude mourlevat
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